Monday, December 7, 2015

Philippe Serra : Mario Tennis Ultra Smash



Philippe Serra- Mario Tennis Ultra Smash


Mario Tennis Ultra Smash : Philippe Sevra regrette les multiples lacunes de ce jeu sur Wii U.



Parmi les nombreuses sorties de titres du dernier trimestre, Mario Tennis Ultra Smash aurait pu se révéler l’une des plus amusantes en famille. Au lieu de cela, Philippe Serra livre une critique amère sur une véritable déception.Un jeu au gameplay beaucoup trop confus et lassant. 


Au premier abord, ce jeu s’annonce sympathique, car il met en scène les personnages si attachants et charismatiques de la saga Mario, tout en permettant de jouer facilement – y compris pour de jeunes enfants – grâce à un système de marquage au sol élaboré. Avec un minimum de pratique, celui-ci permet en effet de savoir le meilleur coup qu’il faut réaliser pour bénéficier d’un bonus, qui déclenche une frappe plus puissante. Toutefois, Philippe Serra a rapidement constaté qu’il était possible d’utiliser des champignons énormes, qui, lorsqu’un gamer – ou son opposant virtuel – passe dessus, lui permette d’acquérir temporairement une taille gigantesque. Toutes ses frappes voient ainsi leur force décuplée, de même que la zone du terrain adverse accessible. Ce qui pouvait sembler être une bonne idée se révèle néanmoins vite l’une des principales tares du jeu, car comme nous l’indique Philippe Serra, cela crée vite de la confusion, car il devient compliqué de situer correctement les personnages. En outre, même sans les « Mega Champignons », il est pour ainsi dire impossible de marquer un point à coup sûr sans utiliser un autre coup que le fameux smash : amusant au début, mais rapidement lassant. La finesse quasi stratégique d’une partie de tennis n’a clairement pas été reproduite avec suffisamment de soin.

Plusieurs modes disponibles, mais qui laissent un goût d’inachevé. 
Au départ, 12 personnages sont disponibles, et 4 autres devront être trouvés au fil du jeu, sachant qu’ils sont décrits au travers d’une classification assez similaire à celle de Mario Kart, en fonction des critères suivants : vitesse, puissance, ruse, défense, technique et complet. Par ailleurs, plusieurs types de courts sont disponibles, avec bien entendu la terre battue et le gazon, mais également des propositions plus originales, telles qu’une patinoire ou un sol changeant en fonction des coups effectués. Trois modes sont par ailleurs accessibles : 


  • Ascension des Champions : il s’agit d’un championnat, permettant de gagner de l’argent virtuel (pour débloquer des personnages et des courts, ou bien même « acheter » l’accomplissement d’un défi, sans avoir eu à le réaliser), dans lequel la difficulté s’accroît progressivement, et qui inclut la présence des « Mega Champignons » ainsi que de certaines surfaces spéciales de courts ; 

  • Mega-Battle : les joueurs s’affrontent alors avec une balle dont la taille diminue, et la vitesse augmente, au fur et à mesure des échanges ;

  • Match standard : il s’agit d’effectuer un match simple, en ayant la possibilité de choisir de joueur sans champignons, ni bonus d’aucune sorte.

Cependant, aucun de ces trois modes ne se révèlent véritablement convaincant à l’usage. En effet, dans le premier cas, comme évoqué précédemment, Philippe Serra a jugé les « Mega Champignons » comme polluant le jeu. Pour ce qui est du mode « Mega-Battle », le problème se situe au niveau du ressenti, car même si la balle accélère réellement, cette situation ne crée jamais la moindre once de stress chez le gamer – or, soyons franc, c’est aussi cela qui fait l’intérêt d’un jeun. Enfin, en « Match Standard », Philippe Serra espérait retrouver un gameplay plus efficace – notamment car débarrassé des champignons qui l’empoisonnent. Pourtant, Philippe Serra a constaté qu’il est très difficile d’envoyer la balle en dehors des limites du terrain (ou dans le filet), tandis que l’adversaire n’est pas non plus facile à berner – du moins, tant qu’il ne commet pas de faute grossière. De fait, le jeu se résume souvent à un renvoi de la balle monotone, et finalement ennuyeux.


Certes, le jeu sortant à la fin du mois de novembre, Philippe Serra tient à souligner que son avis ne peut pas être définitif pour le moment. Néanmoins, et dans la mesure où peu d’évolutions sont à attendre de la version final, il est d’ores et déjà acquis que la saga Mario nous a donné de bien meilleurs résultats que ce Tennis Ultra Smash. Philippe Serra espère fortement que le successeur de ce jeu saura se rendre plus passionnant, car le créneau du jeu familial et amusant de tennis n’est pas encore pris sur Wii U. 


Tuesday, November 3, 2015

Philippe Serra vous parle de Dragon Ball Z Dokkan Battle

Philippe Serra - Dragon Ball Z Dokkan Battle
Philippe Serra Dragon Ball Z Dokkan Battle

Dragon Ball Z Dokkan Battle : un F2P qui, malgré ses défauts, a beaucoup plu à Philippe Serra.


Manga culte, avec lequel plusieurs générations ont grandi, Dragon Ball Z est décliné dans un nouveau Free to Play, que Philippe Serra a longuement testé pour nous.


Un synopsis quelque peu bancal selon Philippe Serra


Pour sa déclinaison F2P sur mobile, Dragon Ball Z fait appel à un nouvel ennemi, ayant réussi à réunir les fameuses boules de cristal pour demander au dragon Shenron l’identité du guerrier le plus puissant de l’univers. Afin de pouvoir répondre à cette question, celui-ci n’a rien trouvé de plus simple que de générer une faille où ni le temps ni l’espace n’ont de sens, de manière à regrouper les meilleurs combattants, de toutes les époques et en provenance de toutes les planètes habitables connues. Philippe Serra ajoute que le rôle du joueur, en tant que guerrier débutant, consiste à se défaire d’adversaires de plus en plus coriaces, tout en tentant de percer le mystère de l’identité – et du souhait final – de l’organisateur de cet affrontement. Indubitablement, on a déjà connu des scenarii moins tirés par les cheveux, mais il s’agit d’abord et avant tout d’un prétexte pour réunir les personnages les plus connus de DBZ. Pour Philippe Serra, cela suffira amplement à ravir de très nombreux fans de la série.


… mais un Free to Play relativement classique.

Pour réaliser Dragon Ball Dokkan Battle, Bandai Namco n’a clairement pas cherché à révolutionner le genre F2P. Par conséquent, comme l’explique Philippe Serra, il suffit de quelques minutes de jeu pour retrouver ses marques, la mécanique de base s’avérant globalement similaire à celle d’autres titres ayant rencontré le succès auprès du grand public. Le joueur dispose de deux objectifs, l’un étant lié aux combats proprement dits, et l’autre à l’exploration, avec un mode de fonctionnement qui n’est pas sans rappeler à Philippe Serra celui des jeux de plateaux « traditionnels ». On retrouve ainsi une piste de jeu composée de plusieurs cases, avec des items à collecter, des bonus/malus et des adversaires à éliminer. Pour chaque mouvement, le jeu fait appel au hasard avec trois valeurs choisies aléatoirement, et il revient ensuite au gamer de doser au mieux ses déplacements, afin d’arriver sur des cases qui l’aideront dans sa progression.


Des combats rendus trop aléatoires … 

Si l’introduction d’une part de hasard dans ce F2P en matière de déplacement est plutôt divertissante, Philippe Serra regrette que les combats souffrent également d’une trop grande place laissée à la chance. En effet, une fois votre équipe de guerriers constituée, vous faîtes face à une multitude d’orbes de couleur, dont chacun d’eux symbolise une typologie de personnage. Le joueur doit ensuite essayer de les sélectionner en les liant, les uns aux autres, en fonction de leur coloris, mais ces boules apparaissent de manière aléatoire. Philippe Serra a donc régulièrement eut à pester contre le sort qui ne lui autorisait que des attaques d’une virulence à faire pâlir … une mouche. Certes, des objets collectés permettent de modifier la couleur de certains orbes, mais au final, la plupart des gamers se résoudront vite à pianoter sur ces boules en croisant les doigts pour obtenir une frappe suffisamment forte.


… mais Philippe Serra a adoré le fait de retrouver l’ambiance de DBZ.

Quel fan de Dragon Ball Z n’a pas rêvé, un jour, d’incarner le fameux Sangoku lorsqu’il lance son fameux « Kaméhaméha » ? Philippe Serra n’éprouve aucune honte à avouer que, comme des milliers d’autres aficionados de la série, il a été absolument ravi de retomber un instant en enfance, au travers de ce jeu Dokkan Battle. L’animation des séquences de combat a été réalisée avec le plus grand soin, et l’univers DBZ préservé jusque dans le moindre détail – y compris au niveau de l’interface et de la bande son.



Certes, Dragon Ball Z Dokkan Battle laisse une trop grande part au hasard, mais il est difficile de ne pas vouloir jouer à ce petit F2P sans prétention, pour la simple et bonne raison qu’il a su respecter l’environnement propre à ce manga culte. En outre, l’envie de débloquer de nouveaux personnages, afin de créer l’équipe de guerriers la plus puissante qui soit, est une source de motivation qui fera de ce titre un succès.


Philippe Serra

Tuesday, October 6, 2015

Philippe Serra | Top des 10 plus beaux graphismes de jeux vidéos 2015 - 2016



Philippe Serra vous présente dans cette vidéo un regard sur 10 jeux avec un graphisme à couper le souffle.

Les jeux sont à venir sur PS4 et XBox one. Voici le menu, bonne appétit !

1. HomeFront

2. Rise Of The Tom Rider

3. Hitman 6
4. Dishonered 2

5. Showdow Warrior 2

6. For Honor

7. Assassin's Creed Syndicate

8. Tom Clancy's Rainbow Sieg

9. Tom Clancy;s The Division

Et le meilleur pour la fin : )

10. Star Wars Battlefront

J'espère que ça vous à plus à la prochaine pour encore plus de vidéos.
Philippe Serra